Promenade au clair de lune, entourée de chouettes...

Autres Nombre de messages : 51 Age : 31 Date d'inscription : 27/10/2007

Violett prit un temps fou à se décider : la tunique rose, ou le chemisier violet ? Pourquoi diable avait-il fallut qu'elle ai des habits aussi beau ? Elle aurait du emprunter les vielles robes de sa mère, elle n'aurait pas eu de problème à choisir : elle n'aurait pas choisit, et se serai couverte d'un châle seulement. Mais malheureusement, l'idée de se balader ainsi ne plaisait pas tant que ça à la jeune femme, aussi était-elle obligée de choisir entre les deux vétements. Rose, ou violet ? Elle réfléchit un long moment, puis, deséspérée, attrapa un haut blau marine légèrement décolté et un jean des plus banale, puis sortit de sa chambre en souriant. Finalement, elle avait bien fait : le bleu lui allait à ravir ! Razz

Elle monta les nombreux escaliers, sans but précis, d'un pas lent et régulier. Elle n'avait pas vraiment eu le temps de visiter le château, avec toutes les préparations pour ses cours, et avec les multiples copies à corriger. Non, vraiment, Violett était débordée. Elle avait à peine le temps de se maquiller, le matin, et elle avait de plus en plus de mal à garder une apparence potable : depuis qu'elle était à Poudlard, elle avait pris au moins 20 kilos. La nourriture y était tellement lourde que personne ne pouvait garder sa ligne en restant un an dans l'école. Mais bizarement, les élèves semblaient s'y habituer... Violett y arriverait sûrement aussi !
Elle arriva devant un long escalier étroit, qui aurait pu faire hurler son cousin Jack : le pauvre homme était clostrophobe, et dès qu'il entrait dans une pièce, même un pièce assez grande, il paniquait et sortait en hurlant comme un singe, ce qui faisait peur à voir. Mais celà était une autre histoire ! ^^ Elle avança donc, puis gravit les marches d'un pas lent avant de se retrouver dans une grande salle parsemée de chouettes toutes aussi belles les unes que les autres. Violett les admira un long moment avant de continuer son chemin vers la fenêtre, où elle admira le magnifique paysage qui s'offrai à elle. Elle ne savait pas que le château avait une volière, et fut heureuse de l'apprendre : ses parents étaient sûrement morts d'inquiètude, étant donné qu'elle ne leur avait pas écrit. Si elle retrouvait le chemin, un de ces jours, elle leur enverrait un petit mot pour les rassurer !

*Dommage que Flipper ne soit pas là pour admirer le paysage, il aurait sûrement apprécier !* se dit-elle, en repensant à son chat. Il était si mignon, si beau ! Personne ne lui avait autant plu, surtout depuis qu'elle était partie de l'école. Ses nombreuses conquêtes n'avait pas été très fructueuses durant ses années d'études, et malheureusement, Violett n'avait toujours pas trouvé le grand amour, qu'elle attendait depuis bien trop longtemps. Violett, en tant que Gryffondor renommée, avait toujours su se montrer courageuse devant ses nombreux problèmes : sa tante, après une opération chirurgicales, avait perdu les pédales et avait décidé de devenir un mouton, et broutait le moindre centimètre d'herbe qui se trouvait sur son chemin. Quant à son mari, il avait fini à ste Mangouste, à cause de son allergie aux véracrasses. Bref, l'ancienne gryffondor n'avait pas eu beaucoup de chance du côté de sa famille. Mais ses nombreux amis, qu'elle avait à présent perdu de vue, l'avait soutenue, et Violett avait surmonté tout cela. Maintenant, elle se retrouvait professeur, directrice de l'honorable maison des Gryffondor, et avait des élèves merveilleux. Pouvait-on rêver mieux ?

Professeurs Nombre de messages : 13 Age : 32 Date d'inscription : 10/11/2007

Cher Matt,

Comme je te l’es promis avant mon départ, je t’envoie une lettre pour te dire que les élèves ne m’ont pas encore avalés toutes crues et que je vais bien. Je suis désolée de ne pas t’en avoir envoyé une depuis plusieurs semaines, mais les devoirs a corrigés commencer à s’empiler sur mon bureau et je crois que j’en aurais jamais vu le bout si je t’avais écris plus tôt.

Je t’entends déjà d’ici : « Mais écrire une lettre ne prends pas six heures et demi ! », mais tu sais bien que j’aime observer les étoiles le soir pour m’éloigner de toutes mes obligations et puis en ce moment le ciel n’est pas voilé donc l’observation y est encore plus fantastique. En plus, je n’ais plus à monter sur les toits pour m’installer, j’ai juste à me poser sur le rebord de la fenêtre et de là j’ai parfois l’impression de pouvoir toucher les étoiles…

Tu te rappelles lorsque nous étions étudiants, tu m’emmenais souvent les observés de la Volière du château quand tu avais du temps à m’accorder et bien maintenant je peux rester dans la tour d’Astronomie qui est encore plus haute que la Volière : c’est grandiose, je n’arrive même pas à trouver les mots exacte pour te décrire cette vue incroyable.

Sinon comment se passe ta vie à Londres ? Tu n’es pas trop surchargé par ton travail au ministère, j’espère ? Est-ce que la prochaine fois que je viendrais te rendre visite à Londres, tu me présenteras enfin la femme qui partagera la vie de mon cher grand frère ? En tout cas, fait lui part de mes salutations les plus sincères si tu la trouves un jour Razz

Molly

Molly finit sa lettre avec un petit sourire en coin : elle s’avait bien que Matthew n’avait pas encore trouvé cette femme et que s’il venait à la rencontrer ce serait elle la première informée. Les deux frangins sont si proches que si on enlève leurs cinq années de différence, on pourrait les croire jumeaux. Molly plia en deux la lettre adresser à son frère et y inscrit son prénom et son nom, puis la jeune enseignante se leva et attrapa un châle en laine qui était posé sur le dossier de sa chaise que sa mère lui avait offert au noël dernier le posant sur ses épaules recouvrant
ses habits du jour. Laissant derrière elle les copies de ses élèves en cours de correction pour se diriger vers la porte en bois de son bureau puis arriva sur le couloir froid du château.

Au moment où la jeune Molly poussa la porte qui menait à la volière, elle réajusta son châle pour ne pas laisser le vent s’engouffrait. Molly entra dans la volière et se dirigea vers sa chouette, Isis, sans regarder autour d’elle : de toute façon personne n’est de sortir en cette heure tardive dans le château à part elle. La jeune enseignante est selon elle l’a seule à sortir poster une lettre à 22h du soir. Elle attacha la lettre solidement à la patte d’Isis puis la lâcha dans les airs regardant cet animal qui allait parcourir la grande distance qui la séparait de son frère.
La jeune enseignante allait se retourner pour quitter la Volière lorsqu’elle entendit un bruit. Il y avait quelqu’un dans la Volière bien avant son arrivée : qui cela pouvait-il bien être ? Surement un élève qui voulait être loin de la cohue dans les salles communes. Qui que cela puisse être, Molly n’allait pas prendre ses jambes à son cou et partir très loin d’ici : ce n’était pas le genre de la famille ? Elle se retourna puis reconnut dans un filé de lumière produit par la lune qui était particulièrement belle ce soir là, le visage fin de Violett, professeur de Métamorphose. Elle lui adressa un léger sourire en repoussant ses cheveux en arrière avant de venir à coté de sa collègue qui admirait la vue qu’on avait de la fenêtre.

- Salut Violett ! Commença la jeune Molly. C’est magnifique… Tu ne trouves pas ?

» Promenade avec sa fille [Libre]