Nineteen Years Later
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 Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.

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Scorpius Malefoy
Préfet de Serpentard
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Scorpius Malefoy


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MessageSujet: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mer 19 Aoû - 13:45


Scorpius poussa un grand soupir du fond de la classe. Les sortilèges ! La vieille McGo n’avait pas idée de leur faire apprendre une matière aussi dépourvu d’intérêt. Mais bon, il fallait lui pardonner, pensa Scorpius avec une moue moqueuse sur les lèvres, vue son âge, la pauvre n’avait surement plus toute sa tête. Un ricanement s’échappa de la bouche de l’enfant unique des Malefoy. Scorpius fut enfin sauvé par Merlin qui avait choisi à ce moment là, de faire sonner la cloche qui annonçait la fin des cours de l’après-midi, pour le plus grand bonheur du sorcier. Croyant être tiré d’affaire, le jeune homme rangea ses affaires avec beaucoup d’enthousiasme. Peu être même trop.

-Mr Malefoy ! Appela Mrs Bell. J’ai remarqué que vous n’aviez pas prêté une grande attention à mon cours. Dans ce cas, vous me ferez 40 cm de parchemin sur ce que vous avez retenu. Bonne journée ! Répondit Miss Bell avec un sourire qui sonnait faux.

Lorsqu’il sortit de la salle, Scorpius tremblait de rage. Ils avaient déjà 30 cm à rédiger pour Miss Hemeley et 50 cm pour le prof de défence contre les forces du mal et il fallait que ce vieux crapaud en rajoute encore 30 cm ! Le jeune Malefoy décida de se rendre dans sa salle commune avant d’aller diner. Le labyrinthe des sous-sols était désert. Le Serpentard marcha le long du couloir jusqu'à ce qu’il se retrouve devant un mur nu et humide.

-Sang-pur ! Pronoça-il.

Une porte de pierre dissimilée dans le mur s’ouvrit et Scorpius pénétra à l’interieur de la salle commune des Serpentard. Il s’avachit lourdement sur l’un des fauteuils couleur verte émeraude et il laissa son regard se perdre dans les flammes de la cheminée sur laquelle trônait un trophée représentant un serpent gigantesque. Il prit la Gazette du sorcier et commença à lire :

Harry Potter, l’élu, le survivant, connu sous bien d’autre nom encore pour avoir vaincu Vous-Savez-Qui à déclaré ce matin à la presse qu’il…

Scorpius n’alla pas plus loin. Il en avait assez entendu. Il roula en boule le journal, et le balança dans les flammes. Potter…Scorpius avait horreur de ce nom. Il se croyait malin mais le jeune Malefoy était certain qu’un jour, un autre mage noir se lèverait et débarrasserait les sorciers de tous ses sang-de-bourbe et traitres à leur sang. Scorpius se rejoindrait ses rangs et le grand Harry Potter ainsi que son imbécile de fils Jamichéri ne pourrait pas sauver le monde avec pour seules armes la prétention et leur soit disant « courage ». Ah Saint Potter ! Le fils est encore pire que le père, songea Scorpius. Mais le sorcier fut tiré de sa rêverie lorsque Goyle et Nott vinrent s’assoir en face de lui. Scorpius remarqua que Nott avait un air bizarre.

-ça va ? Demanda-il à son ami.

-Je ne me sens pas très bien, avoua le Serpentard.
-
Alors, va à l’infirmerie, et donne deux trois coups de pied de ma part à quelques sang-de-bourbe, répliqua Scorpius avec un ricanement méprisant.

Puis, jetant un coup d’œil à sa montre, il s’aperçu à son grand étonnement qu’il était déjà 19h. Il se leva et sortit seul de la salle commune des Serpentard. Son trajet jusqu’au grand hall fut de courte duré. Scorpius ne s’était pas aperçu qu’il avait marché si vite car il était beaucoup trop occupé à maudire James Potter par télépathie espérant que ce dernier l’entendrait. Mais au moment où il allait passer les portes pour entrer dans la grande salle, le vœu du jeune Malefoy fut exaucer lorsqu’il aperçu un jeune garçon brun aux cheveux très ébouriffés. Il pivota, et il se dirigea vers lui avec un sourire satisfait.

-Tiens tiens ! Jamisounet Potter ! Roi des l’imbéciles et 1er ministre de la prétention en personne ! Quel honneur ! Je me prosterne à vos pieds !

Puis, en faisant semblant de jeter des regards surpris autour de lui, il ajouta avant d’éclater d’un rire froid et cruel destiné à rendre James fou de rage.

-Abichérie n’est pas là ? Cela ne m’étonne pas. Je me disais bien qu’elle n’arriverait pas à supporter longtemps une tête aussi enflé que la tienne !

Scorpius était plus heureux à présent. Que pouvait-il exister de mieux que de faire enrager le fils de l’élu ?
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James Potter
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mer 19 Aoû - 17:08

Terminer la journée par un cours de sortilèges commun à Gryffondor et à Serpentard était vraiment loin d’être réjouissant, surtout lorsque ce même cours succédait à un double cours d’Histoire de la Magie. Le genre d’après-midi qui vous donne la nausée. Assis au milieu de la salle – uniquement parce qu’une bande de Serpentard l’avait devancé en s’accaparant le dernier rang – le jeune Potter fixait son professeur d’un œil vitreux, faisant tourner négligemment sa baguette entre ses doigts, faisant mine de prendre des notes, de temps à autre, en adoptant un air faussement intéressé. Non loin de lui, le visage fatigué de Leslie – Terry le Chien l’avait probablement tirée du lit plus tôt que nécessaire – se cachait derrière une cascade de cheveux blonds. Régulièrement, la tête de la jeune fille se rapprochait dangeureusement de la table, au rythme de ses micros sommeils qui se faisaient de plus en plus fréquents à mesure que les minutes s’écoulaient. Lorsque cette semi-sieste devenait trop visible, James prenait le parti de réveiller la blondinette d’un grand coup de coude, lui évitant ainsi de subir les foudres de leur professeur. Enfin, la cloche sonna la fin de l’heure – et le réveil définitif de la jeune Owen. Se levant brusquement de sa chaise, le Gryffondor s’apprêta à quitter la salle. Mais son attention fut retenu par les propos que tenait Mrs Bell à ce crétin de Malefoy qui avait commis l’affront de s’aproprier le dernier rang. Le jeune Potter crut comprendre que son camarade venait de gagner une nuit sans sommeil passée à remplir quarante centimètres de parchemin d’inepties sans nom. Contenant difficilement son hilarité, James quitta la pièce.

Si tôt dans le couloir, le jeune homme allongea le pas, se frayant tant bien que mal un chemin parmi les autres étudiants. L’un des inconvénients qu’il avait trouvé à avoir hérité de quelques unes des caractéristiques physiques de son père était sans nul doute sa taille désespérément inférieure à la moyenne de la gent masculine, bien qu’il dépasse aisément Abigaël et Leslie – Merlin, merci ! Malgré tout, James parvint à rejoindre la salle commune des Serdaigles, située dans l’aile Ouest du château. Conscient du fait qu’il était bien incapable de répondre à la question que lui poserait le heurtoir en forme de tête d’aigle s’il s’avisait de demander la permission d’entrer, le jeune Potter prit le parti de s’adosser contre un mur, à quelques mètres de là, attendant l’arrivée d’Abigaël. Celle-ci ne tarda d’ailleurs pas à faire son apparition. Le Gryffondor esquissa un signe de la main mais elle ne le vit pas, trop absorber par sa conversation avec Victoire. A en juger par la mine défaite de cette dernière et à la façon dont Abi passa un bras autour des épaules de sa cousine, il n’était vraiment pas judicieux de s’inscruster entre elles. Aussi le jeune homme se décida-t-il à aller dîner seul, espérant que Leslie n’avait pas déjà rejoint leur salle commune.

Tout en dévalant les marches de l’escalier principal, James s’interrogeait sur la raison pour laquelle Abi passait tant de temps avec Victoire et si peu avec lui ces derniers jours. Un peu frustré d’être ainsi délaissé – chose à laquelle il n’était pas réellement habitué -, le jeune Potter affichait une mine sombre alors qu’il atteignait le hall principal. Comme si Merlin ne se contentait pas de lui faire subir d’interminables heures de cours en réduisant au maximum le temps qu’il passait avec Abigaël, le vieillard à la célèbre barbe jugea bon de forcer le sort à s’acharner contre lui. En effet, une voix familière, horriblement familière, parvint aux oreilles du jeune Potter. Ce dernier se retourna lentement, la machoire crispée, les dents étroitement serrées, faisant face au visage blafard de Scorpius Malefoy.


-Je ne suis pas d’humeur, Malefoy ! lâcha-t-il, ses propos teintés de toute la rancœur qu’il avait accumulé jusque là. Alors si tu ne veux pas me pousser à faire couler ton sang si pur auquel tu tiens tant, tu ferais mieux de passer ton chemin !
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Scorpius Malefoy
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Jeu 20 Aoû - 8:43


La réponse de James donna d’autant plus l’envie à Scorpius de le narguer d’avantage. Mais le jeune Serpentard connaissait assez James pour savoir qu’il pourrait lui faire regretter tout ce qu’il pourrait dire de trop. L’enfant unique des Malefoy porta une main à l’arrière de son jean où se trouvait sa baguette magique mais ne la sortit pas. C’était une simple mesure de précaution. Scorpius ne souhaitait pas se battre maintenant. Il préférait jouer encore un peu avec les nerfs de James de manière à bien l’énerver. Le sorcier prenait plaisir à chercher le Gryffondor tout comme sont père aimait chercher le grand Harry Potter.

-Mais c’est que je suis terrifié par le si grand James Potter ! Répondit Scorpius avec un sourire narquois.

Il n’avait pas peur de James Potter. Ce n’était pas parce qu’il était le fils de L’élu que Scorpius se prosternerait à ses pieds et lui lécherait les baskets…Qui était d’ailleurs n’étaient pas très propre, songea le sorcier en observant les traces de bout sur les chaussures du jeune Gryffondor en ce jour de pluie. Scorpius lui-même était trempé après avoir traversé le parc du château, allant de la serre pour ce rendre à ce débile cours de sortilèges. Le Serpentard avait deux solutions. Soit il continuait à provoquer James jusqu'à ce que celui-ci s’énerve et sorte sa baguette, soit, en bon élève, il rejoignait la grande salle, laissant James tranquille pour cette fois. Le sourire de Scorpius s’élargie. Lui ? Scorpius Malefoy, allait perdre une occasion de jouer à son jeu favori ? Le sorcier fit « non » de la tête, pour lui-même. Il aurait bien aimé continué à tourmenter ce pauvre James, qui avait l’air d’avoir passé une journée encore pire que celle du jeune Malefoy. Il hésitait. Non pas qu’il avait peur de James Potter bien au contraire ! Non, Scorpius avait seulement peur des foudres du professeur McGonnagal si sa « conversation » avec James tournait au vinaigre et qu’ils étaient surpris par McGo à se battre dans les couloirs. Mais ne pas provoquer un Gryffondor à chaque fois qu’il en avait l’occasion était presque impossible pour un Serpentard. Alors, incapable de se contrôler et conscient que cette phrase lui couterait peut-être un sort, en gardant la main sur la poche arrière de son jean où se trouvait sa baguette magique, Scorpius lança avec tout le mépris dont il était capable :

-Je regrette vraiment que ton imbécile de père ne soit pas mort au combat. Cela lui aurait bien évité ainsi qu’a ta sale traître à son sang de mère d’engendrer une chose comme…sa.

Scorpius regarda James de haut en bas avec un air dégouté puis regarda attentivement James pour voir si ces paroles avaient eu un impact sur lui. Pourquoi agissait-il comme ça ? Il ne le savait pas plus que pourquoi il détestait James depuis le premier regard. On lui avait donné une éducation particulière. On avait toujours apris à Scorpius à haïr les sang-de-bourbes et les traitres-à-leur-sang. Il ne c’était jamais posé de question…Sauf cette après-midi là.

***Flash back***
Il pleuvait. Scorpius riait à aux éclats, courant à toutes jambes dans la rue du chemin de traverse. Derrière lui une petite fille aux cheveux blonds et aux yeux d’un merveilleux bleu saphir courait derrière lui. Tout deux étaient à l’époque âgée de 9 ans.

-Scorpius ! Criait la fille, attend moi !

Elle entendit le rire du petit garçon non loin d’elle.

-Bouh ! Ahah ! Je t’ai bien eu Mélanie !

-Idiot ! Tu m'as fit peur ! Répliqua Mélanie avant de lui coller une petite tape à l’arrière du crane.
Scorpius éclata de rire
***Fin du flash back***

Son père était partit voyage d’affaire durant un mois et c’était à ce moment là que Scorpius avait fait connaissance avec Mélanie. Mais lorsque son père était rentré, il avait questionné la petite fille sur son statue de sang, et en découvrant qu’elle était née-Moldu, Drago avait imédiatement interdit à son fils de la revoir. Ainsi, Scorpius savait que son amie d’enfance qu’il aimait tant était au château mais il ne l’avait jamais retrouvé. Il avait alors, depuis ce jour, détesté les sang-de-bourbes. Une larme coula sur la joue du Serpentard mais il passa imédiatement une main sur son visage et l’essuya rapidement, espérant que Potter ne l’avait pas remarqué.
Ainsi Scorpius compléta ses paroles, en ajoutant :

-C’est aussi valable pour sa sale sang-de-bourbe de grand-mère !
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James Potter
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Ven 21 Aoû - 9:28

L’espace d’un instant, James pensa naïvement que Scorpius allait le laisser vaquer à ses occupations en ne s’enfonçant pas davantage dans cette pitoyable forme de provocation. Mais lorsqu’il vit son camarade porter une main à la poche arrière de son jeans, lieu stratégique si l’on voulait avoir sa baguette à portée de main – bien que l’on risque d’y perdre une fesse, anecdote hautement poilante d’un certain Fol’œil dont Harry parlait régulièrement. Durant quelques secondes, le jeune Potter se figura l’arrière du jeans de son pire ennemi prenant brusquement feu, la terreur se lisant ouvertement sur le visage du Serpentard. Cette image on ne peut plus hilarante arracha un large sourire à James. Un sourire qui ne s’élargit que davantage lorsque Scorpius fit mine d’avoir peur de lui, démarche absoluement pitoyable qu’il réitérait à chacune de leur rencontre ce qui en devenait presque lassant. C’était à croire que ce garçon manquait réellement d’imagination au point de resservir inlassablement les mêmes insultes et les mêmes mimiques détestables. Ce que le jeune Malefoy ignorait, cependant, c’est que le Gryffondor se fichait éperdument de se voir affubler de quelques surnoms grotesques – « Jamisounet » à l’appuie – ou de se faire moquer de par le trop plein de confiance qu’il portait en lui. Peut-être était-ce bien vrai, peut-être était-il à moitié stupide et complètement prétencieux ! Il n’empêchait qu’il restait un élève globalement reconnu et apprécié de ses camarades – ce qui serait sûrement la qualité première dans un monde qui serait uniquement peuplé d’adolescents. Scorpius Malefoy, lui, ne pouvait pas en dire autant. Si on lui retirait sa bande de deux ou trois gorilles sans cervelle qui le suivait constament comme un chien suit son maître, il était absoluement seul ! Pire encore, les vents de contestations qui se levaient contre lui venaient parfois même de ces mêmes abrutis, souvent fils d’anciens mangemorts n’ayant pas oublié la disgrâce de la famille Malefoy aux yeux de Lord Voldemort, dans le passé. Tout cela faisait au jeune Potter plus de milles raisons de sourire en se moquant intèrieurement de son camarade.

Néanmoins, l’hilarité passagère de James disparut bien vite lorsque les insultes de Scorpius cessèrent de se diriger contre lui pour lui préférer ses parents. Malefoy ne semblait plus avoir d’attache sur lui, raison pour laquelle il s’en prenait à sa famille. Car dans le fond, le sang de James était presque aussi pur que celui de son camarade. Sa mère, Ginny, était l’héritière d’une des dernières familles au sang entièrement pur, bien que les Weasley ait toujours refusé de se montrer méprisants envers les nés moldus, ce qui leur avait valu le titre de « Traîtres à leur sang ». Du côté des Potter, James Sr. était né d’une famille de sang pur, parante par alliance de la famille Black et donc, inévitablement, des Malefoy bien que cette idée répugnât le Gryffondor jusqu’au plus profond de son être. Il n’y avait que Lily Evans dont les origines moldues pouvaient remettre en doute le statut du sang de James aux yeux de Scorpius. Et visiblement, ce dernier avait bien compris que cela n’était pas suffisant pour le traîter de la même façon qu’il considérait les nés moldus – dire qu’il ne les considérait pas du tout aurait d’ailleurs été plus juste. Aussi le Serpentard s’en prenait à l’image de héro de Harry que la famille véhiculait et véhiculerait encore pendant des années, sans oublier de rappeller la « trahison » des Weasley envers les autres familles au sang pur.

James s’apprêta à répliquer mais Scorpius le devança en gratifiant sa grand-mère paternelle de l’insulte suprême : « Sang-de-bourbe ». Fou de rage, le jeune Potter se jeta en avant et saisit Malefoy par le col de son uniforme, le plaquant contre le mur le plus proche. De son autre main, il saisit sa baguette qu’il pointa sur la gorge de sa camarade. Il réalisait alors qu’il tremblait de rage, de tous ses membres. Tentant de maîtriser sa respiration précipitée, il essaya tant bien que mal de se raisonner, sachant pertinemment que perdre son sang froid pourrait lui coûter cher. Non pas qu’il craignait de gagner quelques semaines de retenue, c’était monnaie courante pour lui ! Mais il savait pertinemment que la patience de Minerva McGonagall avait ses limites et que bien qu’elle soit une amie de la famille, il faudrait l’équivalent de trois Troll des Montagnes en biscuits écossais pour le préserver de l’exclusion définitive. Être envoyé de Poudlard n’était d’ailleurs pas la pire des choses qui puissent arriver à James ! Il avait plutôt à craindre la réaction de sa mère lorsqu’elle le retrouverait devant la porte de Godric’s Hollow avec sa grosse malle : elle le tuerait, de ses propres mains, en oubliant probablement qu’elle était une sorcière
!

Aussi, le jeune Potter choisit de traiter le problème par le mépris :

-Je me fiche de ce que tu penses de moi, Malefoy ! Je suis peut-être le roi des imbéciles et le 1er ministre de la vantardise ou je ne sais trop quoi mais moi, j’ai des amis, des vrais, rien à voir avec la bande de gorilles attardés qui te suivent comme ton ombre à longueur de journée ! Alors tu peux te moquer, de moi, d’Abigaël, même ! Il n’empêche qu’elle est de ces filles tellement formidables qu’elles ne voient pas les petits crétins de ton espèce !

Marquant une courte pause, il reprit, sentant la rage monter en lui :

-Quant à mon père, tu peux regretter jusqu’à demain qu’il ne soit pas mort, il n’empêche qu’il a sauvé le monde des sorciers et ramené à ta famille la disgrâce qu’elle méritait depuis longtemps ! Tu ne peux te vanter de rien ! La chose que tu as pour toi, c’est ce sang pur que tu refuses de faire couler parce que tu as trop peur de te battre ! Mais je te préviens ! Si tu t’avises une nouvelle fois d’insulter ma grand-mère, qui était une sorcière dont les pouvoirs dépassaient largement tout ce que tu pourrais rêver d’atteindre dans tes rêves les plus fous, tu vas devoir sacrifier un peu de ce sang si pur !
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Scorpius Malefoy
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Ven 21 Aoû - 18:14

A en juger par la réaction de James lorsque Scorpius avait évoqué le statu de sang de sa grand-mère paternelle, le Serpentard avait touché un point très sensible. Le Gryffondor releva brusquement la tête et plaqua le sorcier contre le mur avec une telle violence, que ce dernier ce demandait comment avait –il fait pour ne s’être rien cassé. Durant toute sa vie, Scorpius n’avait jamais rencontré quelqu’un d’aussi imprévisible que cet idiot de James Potter. Mais le jeune Malefoy remit ses pensés à plus tard, jugeant qu’il y avait plus urgent, pour le moment. En effet, la main du Gryffondor était écrasée contre sa gorge et, il avait plus en plus de mal à respirer. Scorpius porta sa seule main libre –l’autre étend occupé à essayer de desserrer de son cou la main de James en vain- à la poche arrière de son jean, et sortit sa baguette. Mais avant qu’il ait pu jeter un sort à son ennemi, celui-ci l’avait déjà lâché en jetant un coup d’œil à Minerva McGonagall. Tant bien que mal, le Serpentard se redressa et brandit sa baguette. Si l’un des profs le voyait, il n’aurait cas expliquer que c’était James qui l’avait provoqué en premier, que le pauvre jeune Malefoy était placé en rôle de victime et qu’il n’avait fait que ce défendre. Au moment où Scorpius ouvrait la bouche pour jeter à James un sortilège, ce dernier avait déjà répliqué avec mépris. Bien qu’il eu prononcé quatre ou cinq phrases, le Serpentard en n’en retenu qu’une seule qui était véritablement importante à ses yeux. Le Serpentard eu l’impression d’avoir reçu un coup de poignard en plein dans le cœur. Bien sûr, ce petit crétin sans cervelle de Potter, n’avait à compris le sens que l’effet de ses paroles pourrait faire à Scorpius. Ce fut au tour du jeune Malefoy de rentrer dans une rage incontrôlable. Il tremblait de la tête aux pieds et ne cherchait même pas à se calmer. Il se figea, tête baissé, points et dents serrés. Oh si, Scorpius en avait eu des « vrai » amis. En réalité, il en avait eu une seule. Et elle valait bien mieux que toutes les Abigaël et toutes les machin-truc Owen de la terre. Mélanie avait toujours été sa seule et unique amie. James ne comprenait rien. Scorpius n’avait jamais considéré Goyle et Nott comme des amis dignes de ce nom. Seulement voilà. Quand les parents se connaissent et sont amis, on considère que les enfants feront aussi « ami ami ». Mais, le jeune Malefoy ne croyait pas en la théorie : « les amis de mes amis sont mes amis ». Encore moins à celle de : « Les enfants des parents qui sont les amis de mes parents sont mes amis ». Non non. Seul : « les ennemis de mes ennemis sont mes amis » marchait selon le Serpentard. Bien sur, Scorpius n’avait jamais été autorisé à dévoiler à ses soi-disant « amis » son amitié avec Mélanie.

« Ce serait une honte si on savait que mon fils avait fréquenté une sang-de-bourbe ! » Disait son père.

Mais puisque l’enfant unique des Malefoy avait été amis avec une née-moldu, pourquoi tant de haine à l’égard de ceux-ci ? On pouvait se le demander. Et bien tout simplement parce qu’un Malefoy devait haïr les sang-de-bourbes, un Malefoy devait être arrogant, un Malefoy se devait de détester tout les Gryffondor et en particulier la famille Potter. C’était les règles….Scorpius les connaissait par cœur. Malheureusement pour Scorpius, la règle : Haïr les sang-de-bourbes voulait aussi dire : Haïr Mélanie. Mais c’était comme sa, et pas autrement alors le jeune Malefoy devait se plier à la volonté de son père. Scorpius jeta un coup d’œil à sa gourmette qui indiquait :S.M
Scorpius Malefoy.
Avec Nostalgie, il remarqua que si on inversait les initiales on pourrait lire : M.S :

Mélanie Styder.

Son amie. Sa véritable amie.

Le reste des paroles de James, étaient rentrées par une oreille et étaient ressortit par l’autre. Scorpius n’en avait rien à faire que James le provoque en lui parlant de son sang. Mais il tenait tout de même à préciser une chose au petit fils de sa grand-mère qui avait de si Grand pouvoir. Aussi, il répondit à toutes les paroles de Potter en une seule et unique fois :

-Ferme-là Potter ! Tu ne sais rien, rien tu m’entends, de ma vie. Alors écoute-moi bien. Ouvre tes grandes oreilles parce que cette fois, je ne le répéterais pas deux fois.

La voix de Scorpius n’était qu’un chuchotement glacial remplit de tout mépris et de toute la haine qu’il avait accumulée jusqu'à présent.

-Le jour où les ténèbres envahiront à nouveau la terre, tu rejoindras ton camp…Et moi, le mien. Et je te jure Potter, que je viderais de son sang chaque sang-de-bourbe et traitres-à-leur-sang jusqu'à ce qu’il ne reste dans le monde que les nobles sorciers qui ont participés un jour à aider à accomplir la noble tâche de Salazar Serpentard ! Tu as raison Potter, je n’ai pas de quoi me vanter, mais moi, lorsque j’aurais réintroduit les ténèbres dans ce monde se sera mes exploits que je vanterais, pas ceux de mon père. Tu profites des exploits accomplit par ton père pour te vanter. Mais en fin de conte, tu n'est rien...

Scorpius toisa James un moment puis il sortit sa baguette, la fit d’abord tourner entre ses doigts, puis il l’a pointa vers le Gryffondor avant de lancer :

-Tu va voir si j’ai trop peur me battre ! Lévicorpus !

La baguette de Scorpius fendit l’air sans crier garde . Il était trop tard pour se demander qu'elle conséquence pourrait avoir cette action car un sort fusait déjà vers James Potter.
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James Potter
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Dim 30 Aoû - 14:11

Il avait beau chercher désespéremment dans ses souvenirs, James ne se rappellait pas avec exactitude de sa première rencontre avec Scorpius. Tout ce qu’il pouvait dire, c’était que les deux jeunes gens s’étaient détestés du premier coup d’oel dès lors qu’ils avaient chacun connu le nom de l’autre. Le jeune Potter était persuadé du fait que Mr Malefoy avait prodigué quelques conseils à son fils avant son premier voyage à bord du Poudlard Express parmi lesquels vouer une haine chronique aux nés moldus et détester davantage encore chaque membre de la famille Potter. A vrai dire, peu importait aux yeux du Gryffondor qui se sentait bien plus offensé par la déception de Leslie à son égard que par les injures de son camarade de Serpentard. L’avis de ses amis comptait davantage que celui de ses ennemis, cela tenait de l’évidence. Si cela ne tenait qu’à lui, James ignorerait totalement le jeune Malefoy, sachant pertinemment que ce serait là la pire des insultes pour ce dernier ! Mais la haine que se vouait leurs deux familles semblaient prédestinée à être chronique ; aussi, impossible de déroger à la règle ! Cependant, il était impossible d’oublier comment Harry Potter avait sauvé la vie de Drago Malefoy et ce à deux reprises. L’espace d’un instant, le Gryffondor fut tenté de le rappeller à son interlocuteur mais il abandonna très vite cette perspective, laissant à l’autre une chance de lui répondre.

James ne savait pas avec exactitude laquelle de ses phrases avaient touché un point sensible mais il était sûre d’une chose : son camarade était sur le point de perdre totalement son sang froid. A vrai dire, le Gryffondor s’en réjouissait d’avance, raison pour laquelle il tira rapidemment sa baguette de sa poche tout en prêtant une oreille attentive aux propos du Serpentard. C’était à croire que ce dernier avait fait l’école du rire ! Ainsi pensait-il qu’il serait celui qui ramènerait les forces du mal au pouvoir dans le monde des sorciers ? Le jeune Potter trouvait cela hilarant, à la limite du grotesque, même. Tout le monde savait que la famille Malefoy était finie, définitivement finie. En tombant dans la disgrâce du Seigneur des Ténèbres, elle avait tout perdu, et avait dans le même temps révélée au grand jour ses mauvaises intentions qu’elle cachait jusque là. Ainsi, tous ceux qui les avaient craints pour leur puissance et leur argent avaient enfin pu relever la tête face à eux, n’ayant plus peur de les défier du regard. La guerre était terminée et ce n’était pas Scorpius Malefoy qui changerait quoique ce soit à cela. Aussi, James éclata-t-il d’un grand rire qui fit tourner quelques têtes autour d’eux.


-Parce que tu penses que toi, Scorpius Malefoy, élève médiocre et sorcier tout aussi mauvais, va réussir à ramener les forces du mal à la tête de notre monde ?! Laisse-moi rire ! Tu ne saurais même pas stupéfixier une araignée !

Cependant, le rictus du jeune Potter s’évanouit bien vite. Tout se passa très vite. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, Scorpius brandit sa baguette et le sort fusa. Les talents de Quidditch avait développé la faculté à réagir promptement de James. Aussi ce dernier renchérit-il, du tac au tac, priant pour parvenir à stopper le sort :

-Protego !
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NYL - Maître du Jeu

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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Dim 30 Aoû - 14:18

Intervention du Maître du Jeu ! Votre sort est entre mes mains ! Twisted Evil Trrrembleeeez !^^

Monsieur Malefoy lance donc le sort Levicorpus, de catégori 3 étoiles. Mr Potter tente de s'en défendre par le charme du bouclier.

Le dé affiche le nombre
6 !

Navré Mr Potter mais le sort passe ! Wink

Points de vie :

Scorpius Malefoy : 50
James Potter : 50-15 = 35


Suite du post : C'est à James de poster pour décrire la façon dont il se prend le sort de plein fouet. C'est également à lui de contre-attaquer. Par la suite, ce sera au tour de Scorpius.

Votre Maître du Jeu, à votre service. Wink


Dernière édition par NYL - Maître du Jeu le Mar 1 Sep - 20:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Dim 30 Aoû - 14:44

A vrai dire, James ne s’était pas réellement préparé à cette attaque. Certes, il avait délibéremment provoquer Scorpius mais pas davantage qu’à l’accoutumée ! Aussi, il s’était montré beaucoup trop confiant face à son adversaire qu’il avait largement sous-estimé. C’est la raison pour laquelle il avait réagit si tard à l’attaque inattendue, usant d’un maigre charme du bouclier que le sort traversa sans la moindre peine. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le jeune Potter se trouva donc soulevé dans les airs et bientôt suspendu la tête en bas par une force invisible tirant sur sa cheville droite. Dans un premier temps, il eut le réflexe un peu idiot de se débattre en fendant l’air de grands coups de points, profondément agacé et humilié par les rires étouffés et les murmures de stupéfaction provenant d’un peu partout autour de lui. Honteux, James abandonna la lutte un court instant ce qui s’avéra être une grave erreur de sa part car les rires redoublèrent d’intensité alors que le sang commençait à affluer dangeureusement à son cerveau. Prenant son courage à deux mains, trop fier d’avoir été envoyé à Gryffondor pour renoncer, il brandit sa baguette, la pointa sur son propre corps et s’exclama :

-Liberacorpus !

La chute fut terrible et le jeune Potter pesta de ton son saoûl contre Minerva McGonagall qui, selon lui, aurait dû investir quelques gallions dans une moquette ou dans un bon vieux tapis d’occasion !^^ Néanmoins, il ne laissa rien paraître, se relevant aussi vite que possible, les genoux et les bras endoloris par cet aterrissage contraint et forcé, se demandant s’il ne s’était pas foulé le poignet. Qu’à cela ne tienne, James passa sa main droite – celle qui lui faisait le moins mal – dans ses cheveux bruns, les ébouriffant comme à son habitude, espérant ainsi que sa ressemblance avec son père serait plus frappante – comme si sa tignasse brune pouvait lui transmettre les pouvoirs de son paternel. Refusant catégoriquement de s’avouer vaincu, le Gryffondor tenta d’afficher un air décontracté, esquissant un sourire amusé à l’égard de son camarade, un sourire qui ressemblait davantage à une grimace.

-Alors c’est ça le grand Scorpius Malefoy ? s’exclama-t-il, goguenard. Tu sais que ce n’est pas bien tout Piu-pius ! Je pourrais aller me plaindre au Professeur McGonagall et, crois-moi, elle ne manquerait pas de vous réexpédier, toi et ta malle, chez ton pôpa et ta môman ! Rappelle-toi qu’elle est une bonne amie de ma famille !

Certe, Minerva McGonagall était une bonne amie des Potter et ce depuis plusieurs années ! Mais de là à dire que James pourrait la corrompre facilement, c’était un peu exagéré ! Mais si cela pouvait intimider cet idiot de Malefoy, alors le jeu en valait la chandelle ! Parce que de tout évidence, si la directrice arrivait dans le hall à ce moment précis, elle ne ferait aucune forme de favoritisme : ils étaient tous les deux bons pour une longue semaine de retenue.

-Néanmoins, le Choixpeau ne m’a pas envoyé à Gryffondor pour rien ! Aussi je ne te ferais pas le plaisir d’abandonner en si bon chemin ! reprit-il d’une voix douceureuse avant de s’exclamer, avec toute la haine dont il était capable : Oppugno !

Satisfait, il regarda un jet d’oiseau sortir de sa baguette et fondre droit sur Scorpius.
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Lun 31 Aoû - 7:19


Scorpius savait pertinemment que James avait beaucoup plus de répondant que le Serpentard et c’était en partie pour cette raison là que le jeune Malefoy avait choisi de passer à l’attaque. De plus, -grâce à son égo surdimensionné- il était certain de battre le Gryffondor à plat de coutures. Les deux garçons semblaient de toute façon destinés à être ennemis dès leur entrée au château. Bien que les relations « Potter-Malefoy » se soit améliorés, elles ne seront jamais intimes. Scorpius déteste James par-dessus et est vraiment prêt à le tourner au ridicule dès que l’occasion se présente. Et cette fois, l’occasion avait vraiment été saisie, songea Scorpius, hilare en regardant James soulevé dans les airs par une cheville. Le Serpentard se sentait fier comme un paon. Alors c’était lui ? Le si grand, le si courageux James Potter ? Une moue moqueuse était à présent gravée sur les lèvres du Serpentard.

-Allons Potter ! Si tu veux faire le pitre, va t’inscrire dans un cirque ! C’est donc ça le si précieux petit pote Potter ?

Certain que le Gryffondor ne connaissait pas l’anti-sort, Scorpius profita de cet instant où son pire ennemi était à sa merci, pour le ridiculiser. Le Serpentard regardait à présent James se battre inutilement contre ses liens invisibles. Mais lorsque le Gryffondor abandonna la lutte pendant un court instant, Scorpius ne put s’empêcher d’éclater d’un rire cruel et confiant. Peut-être même un peu trop.
Car, en effet, au plus grand désarroi du jeune Malefoy, James s’était libéré de ses liens en prononçant l’anti-sort que Scorpius lui avait espéré inconnu, et s’était relevé comme si de rien n’était, lui lançant au passage une de ses minable réplique cinglante. Le Serpentard était néanmoins plus calme lorsqu’il y répondit :

-Je trouve quand même que tu as un sacré culot Potter de me menacer ainsi alors que tu viens de sauver ta réputation in extrémiste ! Quand à la vielle McGo’, je ne doute pas qu’elle pourrait me renvoyer, mais il me semble que je pourrais te faire une petite place dans ma malle Potter ! A mes pieds n’est –ce pas ? C’est là qu’est ta place !

Scorpius lança à son adversaire un sourire amusé avant d’éclater d’un rire froid. Le Jamisounetchéridesamaman pouvait bien dire se qu’il voulait, la vieille McGo’ était complètement sénile. C’était tout juste si elle faisait encore la différence entre des biscuits écossais et sa vieille robe de chambre bariolé.

Cependant, Le Serpentard dût sortir de ces réflexions. Pendant un instant, Scorpius avait cru naïvement que le Gryffondor allait abandonner mais apparemment le jeune Potter n’était pas décidé à se laisser marché sur les pieds et avait choisi de se battre comme un lion ^^. En effet, James avait profité de ce moment d’absence pour passer lui-même à l’attaque. Le Serpentard songea un instant à aller se cacher prêt d’une de ces armures horrible –mais bien pratique dans ces cas là ^^- qui hantait le couloir que lorsqu’il s’aperçu de la puissance du sortilège, il sût qu’il n’aurait malheureusement pas le temps d’arriver prêt de l’une d’elle. Sachant d’un protego se serait pas assez fort face à la puissance du sortilège, il cria :

-Finite Incantatem !

Espérant de toutes ses forces que cela suffirait à arrêter ses maudits volatiles, Scorpius songea qui si le sort de fonctionnait pas, sa fierté devrait en payer le prix.
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mar 1 Sep - 15:15

Mr Potter lance donc le sort "Oppugno", de catégorie 3 étoiles également. Mr Malefoy tente d'annuler le sort.

Le dé affiche le nombre
5 !

Au grand bonheur de Mr Potter, le sort passe !

Points de vie :

Mr Potter : 35
Mr Malefoy : 35


Suite du sujet : C'est à Scorpius de poster et de décrire les effets que le sort à sur lui. Il pourra ensuite contre-attaquer.

Votre Maître du Jeu, à votre service !


Dernière édition par NYL - Maître du Jeu le Mar 1 Sep - 20:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mar 1 Sep - 18:50


Malheureusement, maudire James par télépathie n’avait pas été d’un grand secours face au sortilège offensif que ce dernier avait lancé. C’était pour cela que Scorpius se trouvait en ce moment même, en train de se débattre inutilement contre le jet d’oiseau qui était sortit de la baguette du Gryffondor. Ils fonçaient droit sur Scorpius qui laissa échapper un cri de surprise en se protégeant le visage comme il pouvait avec l’aide de ses mains mais les volatils l’attaquèrent, piquant de leur bec et griffant à l’aide de leur griffes chaque centimètre carré du corps du jeune Malefoy. Pour la première fois de sa vie, le Serpentard comprit le proverbe que sa mère lui disait souvent lorsque le sorcier lui racontait ses mésaventures avec James : Quand on joue avec le feu, on se brûle. C’était entièrement vrai mais le Scorpius ne l’aurait avoué en public pour rien au monde. Il était bien trop fier. La honte qu’il ressentait pour ne pas pouvoir se débarrasser de ces stupides volatile pour donner à James Potter la correction dont il se souviendrait toute sa vie se transforma en haine et le masque, qui lui permettait ordinairement de cacher ses émotions tomba, laissa place à un Scorpius hors de lui comme il ne l’avait jamais été. Son regard habituellement d’un bleu saphir magnifique devint d’un noir de jais menaçant et, faisant trembler les murs du château il hurla pour la seconde fois consécutive :

-Finite Incantatem !

Les oiseaux disparurent dans un tourbillon rouge et or, laissant place à Scorpius couvert de griffures avec pour seul compagnie son pire ennemi. Le Serpentard ravala les insultes qu’il brûlait de lancer à James, choisissant de traiter le problème avec une politesse mesquine qui sonnait trop fausse pour être vrai. Alors, Et en toute mauvaise fois, qui égalait largement sa fierté, il s’exclama :

-J’espère que tu n’as pas mis tout la « gomme » Potter ! Car laisse-moi te dire que si c’est le cas, c’est complètement...mm...PI-TOY-ABLE ! J’ai laissé ses oiseaux m’attaquer seulement pour que tu ne te décourage pas trop vite Potter. Cela n’aurait pas été dôle n’est-ce pas ? Mais maintenant c’est terminé. Je connais certaine formes de magie noire qui te sont inconnues tu sais ? Alors veille tout de même à ne pas trop m’énerver si tu ne tiens pas à que je te fasse regretter d’être né.

Ce n’était pas tout à fait vrai. La magie noire était entièrement inconnue à Scorpius et il n’avait pas trouvé l’attaque pitoyable du tout même s’il ne l’avouerait jamais. Mais bon, il cherchait avant tout à déstabiliser James et à le faire douter. C’est pour cela qu’en digne Serpentard, aussi détestable que détesté il ajouta :

-Tout comme le seigneur des ténèbres a laissé une chance à ta sale sang-de-bourbe de grand-mère pour lui faire croire qu’elle avait une chance de s’en sortir vivante ! Mais bon, ce n’est pas une grosse perte, n’est-ce pas Potter ?

Scorpius s’était calmer et avait, une fois encore, revêtit son masque sur le lequel était gravé le sourire narquois ainsi que l’expression impassible que tout le monde lui connaissait. Comme il était extrêmement fier de son coup, et était certain d’avoir rendu James fou de rage, il s’autorisa un ou deux éclats de se rire moqueur et sans humour. Il redevint brusquement sérieux et pointa sa baguette sur le Gryffondor, l’observant en lui lançant de temps à autre quelques regards noirs derrière quelques mèches de ses cheveux blonds qui lui tombait devant les yeux. Il avait sous-estimé son adversaire et il en avait payé le prix. C’était maintenant au tour de Scorpius de faire ravaler au jeune Potter sa fierté. Le Serpentard changea brutalement de cible, dirigea sa baguette sur le bas de la robe de James.

-Tu m’as énervé Potter et tu vas le regretter ! Quand on joue avec le feu…On se brûle ! Incendio !

La baguette du jeune Malefoy fendit l’air et il regarda avec un sourire à la fois narquois et satisfait un jet de flammes sortir de sa baguette magique.
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mar 1 Sep - 20:49

Même si James déployait des efforts surhumains pour ne rien laisser pareil, il avait été considérablement affaibilit par le dernier sortilège lancé par son camarade. La chute avait été rude et il n’y avait pas un membre de son corps qui ne soit pas endoloris. De plus, son poignet gauche le faisait vraiment souffrir ce qui l’empêchait de raisonner calmement. De toute évidence, si la contre-attaque du jeune Potter ne réussissait pas, il n’aurait plus qu’à abandonner le combat et qu’importe sa fierté ! Pour que James Sirius Potter en arrive à une telle décision, il fallait réellement l’issue de ce duel soit fortement compromise par son état physique ! Epuisé, il mit toute la force de son caractère de feu dans son sortilège qui, fort heureusement, réussit. Aussitôt, une floppée d’oiseaux rouges et ors jaillirent de baguette et fondirent droit sur Malefoy qui, malgré de nombreux efforts, ne parvint pas à les maîtriser. Sentant son moral remonter en flèche, le Gryffondor observa avec une satisfaction non dissimulée son camarade se débattre tant bien que mal pour échapper à son triste sort. Le Serpentard ne parvint à se tirer d’affaire par un « finite incantatem » qu’une fois l’œuvre des volatiles achevée avec succès. Lorsqu’il releva son visage égratiné de toute part vers le jeune Potter, ce dernier comprit que la vengeance serait terrible !

Scorpius prétendit s’être laissé faire et James n’en crut pas un mot, une incrédulité qu’il fit partager à son adversaire par un grand éclat de rire moqueur. Il avait été plus vif et plus doué et Malefoy aurait beau sortir toutes les excuses et tous les mensonges du monde, rien ne pourrait changer cela. En le voyant se confondre dans de piètres insultes qu’il ne faisait que réitérer à chacune de leurs rencontres, sans jamais y apporter une quelconque nouveauté, le jeune Potter ne broncha pas, comprenant que c’était là la seule façon de faire rager son ennemi : tout ce qu’il attendait, c’était qu’il perde son sang froid et il ne pouvait se résoudre à lui donner tant de satisfaction. Scorpius ne connaissait rien à la magie noire et ne savait rien de la profondeur de l’œuvre de Lord Voldemort. Il ne comprenait sans doute rien au quart de la moitié du commencement du génocide des nés moldus et ignorait probablement l’existence de la prophétie à l’origine du sacrifice du Lily Potter. Dans ces conditions, à quoi bon discuter ?


-Je suis au regret de te dire que tu ne fais que me reservir chaque fois les mêmes insultes et les mêmes formes de provocation sans jamais ajouter de nouveaux atouts dans ton jeu que je connais déjà par cœur ! Aussi, si tu n’as rien d’autres à me dire, je vais probablement te laisser te rendre à l’infirmerie pour soigner tes petits bobos et écrire à ta mère pour lui raconter tes mésaventures ! Je n’ai pas de temps à perdre avec les gamins de ton genre et la soit disant pûreté de sang n’y change rien ! Ma grand-mère était peut-être une née moldue mais son intelligence rendait sa conversation sûrement cent fois plus intéressante que la tienne !

Sur ces bonnes paroles, James s’apprêta à tourner les talons et à planter là un Scorpius Malefoy fulminant de rage et couverts de plaies en tout genre. Mais c’était sans compter l’acharnement du Serpentard qui brandit de nouveau sa baguette tout en citant un proverbe tout à fait grotesque digne de son manque d’esprit évident. Le jeune Potter était resté sur ses gardes. Aussi réagit-il au quart de tour, pointant sa baguette sur le jet de flammes qui se dirigeait à présent vers lui.

-Aguamenti ! s’exclama-t-il, espérant voir le jet de flammes se transformer en une trombe d’eau.
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mar 1 Sep - 20:56

Mr Malefoy lance le sortilège "Incendio" de catégorie intermédiaire. Mr Potter tente de le bloquer.

Le dé affiche le nombre
4 ! Le sort passe.

Points de vie :
Mr Malefoy :
35
Mr Potter : 25

Suite du RP : James décrit comment il prend le sort de plein fouet et c'est à son tour de contre-attaquer.

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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Mar 1 Sep - 21:16

Malgré tous les efforts dont il fit preuve, James ne parvint pas à arrêter les flammes avec le maigre jet d’eau qui sortit de sa baguette ( Razz). Lorsqu’il vit les flammes s’emparer du bas de son uniforme scolaire, léchant dangeureusement la doublure rouge aux couleurs de Gryffondor, il fut saisit de panique et tenta de retirer sa cape pour éviter la propagation du feu. Mais le sortilège le mettait à mal et en saisissant un pan de sa robe des sorciers, il se brûla, de façon superficielle, certes, mais tout de même, le bout des doigts de sa main gauche déjà fortement endolorie par sa précédente chute. Essayant de conserver son sang froid, le jeune Potter pointa sa baguette sur les flammes et réitéra le sortilège qui ne s’était pas avéré suffisant quelques minutes plus tôt :

-Aguamenti !

Cette fois, le jet d’eau qui jaillit de sa baguette fut beaucoup plus puissant et suffit à venir à bout des flammes qui léchait le tissu dans un crépitement sinistre. Perplexe et dégoûté, James observa longuement son uniforme brûlé de toute part, réalisant que sa mère risquait de lui passer un savon à son retour à Godric’s Hollow. Quiconque connaissait suffisament Ginevra Potter pouvait affirmer que combattre ce crétin de Scorpius Malefoy n’était rien comparer aux foudres de la mère de James. Ce dernier se dit qu’il n’aurait qu’à se rendre à la bibliothèque pour trouver un sortilège suceptible d’arranger cela. Pour l’heure, sa main gauche l’inquiétait davantage. En effet, non content d’avoir quasiment doublé de volume, son poignet comportait à présent de nombreuses traces violacées témoignant des brûlures liées au sortilège. Cette fois, il était évident qu’il n’échapperait pas à un petit tour à l’infirmerie ! A moins qu’Abigaël et ses qualités d’élèves de Serdaigle ne lui évitent de s’humilier davantage en se présentant aux yeux de Mrs Pomfresh ! D’autant plus qu’il ne pourrait pas nier s’être battu ce qui serait probablement rapporté à Minerva McGonagall et il fallait avouer que James ne tenait pas vraiment à subir les foudres de la directrice qui le priverait sûrement de sorties à Pré-au-Lard (seul lot de consolation : Malefoy subirait le même sort). Non, vraiment, mieux valait en finir au plus vite avec le Serpentard et s’empresser de rejoindre Abigaël par la suite en priant pour que ses connaissances en matière de premiers soins soient suffisantes.

Pour l’heure, James reporta son attention sur son adversaire, le gratifiant d’un regard brûlant, témoin de toute la haine qu’il éprouvait à son égard. Scorpius ne savait vraiment pas à quoi il venait de s’exposer en franchissant les limites de la patience du Gryffondor. Cette fois, plus question de plaisanter et de se montrer vulnérable ! Il allait réduire cet affreux petit vantard en sirop de sang pur, il s’en faisait la promesse !


-Ce n’est pas très gentil de se comporter de la sorte avec ses camarades, Malefoy ! murmura-t-il d’un ton menaçant. Que va dire le Professeur McGonagall lorsqu’elle va voir ses affreuses brûlures ? Surtout que je compte suffisament d’amis dans ce château pour témoigner du fait que le célèbre et inoffensif James Potter a été lâchement attaqué par cette vermine de Scorpius Malefoy ! Oh, on ne se comporte pas comme ça quand on a le maître des potions de la plus grande école de sorcellerie du monde pour papa petit Scorpinounet !

James éclata d’un rire froid avant de retrouver son sérieux, bien décider à prendre sa vengeance.

-ça n’est pas très agréable comme sensation, tu sais, Malefoy ! Tu veux savoir ce que font les brûlures ? A ta guise ! Confringo !
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Jeu 3 Sep - 13:03


Lorsque Scorpius réalisa que ses dernières paroles avaient laissé James de marbre, le Serpentard ragea. Bien sur, il avait déjà remarqué au cours de leurs différentes rencontres que les insultes rebondissaient sur James comme des boumerangs lorsqu’elles lui étaient destinées mais il se souvenait parfaitement de sa réaction lorsqu’il utilisait l’insulte suprême pour désigner sa grand-mère paternelle : Sang-de-bourbe. Or, cette fois-ci, cela n’avait fait ni chaud ni froid au Gryffondor. Le Serpentard fut tiré de ses réflexions lorsqu’il sentit quelque chose d’inhabituelle couler sur l’une de ses jours : Du sang. Le sang des Malefoy, ce sang si pur ! Ce sang si pur que Potter avait osé faire couler. Le sorcier leva les yeux vers James et lui lança un de ses regards les plus menaçants qui témoignait toute la haine qu’il éprouvait à son égard. La rigolade était terminée, Scorpius allait passer aux choses sérieuses. Malheureusement, le jeune Malefoy ne trouva rien à dire pour se défendre contre les propos de James.

Il eu cependant une maigre consolation en voyant le Gryffondor se défendre inutilement contre le jet de flammes dont il était victime. En effet, il maigre jet d’eau qui était sortit de la baguette de ce dernier n’avait pas suffit pour stoppé le sort et Scorpius regardait à présent, avec un immense sourire aux lèvres, le feu lécher dangereusement le bas de la robe de son pire ennemi. Le sorcier éclata de nouveau de rire lorsqu’il s’aperçu que James, qui commençait à paniquer sérieusement à la vue des flammes, essayait de retiré en vain sa cape, de peur que le feu ne se propage. Finalement, pour le plus grand malheur de Scorpius, le Gryffondor parvint finalement à s’en tiré avec l’aide d’un « aguamenti » dont la puissance étonna le Serpentard bien qu’il ne l’avouerait pour rien au monde.

-Je me fiche éperdument de se que tu pense Potter ! Quand à McGo’, je n’ai pas peur d’une vieille à moitié sénile ! Quand à tes amis qui pourrait témoigner que je t’ai attaqué, bien qu’il ne lui reste qu’une moitié de cerveau, McGonagall ne fera pas de favoritisme et tu le sais aussi bien que moi. Ta môman ne sera pas très contente hein Potter, si elle vous voit, toi et ta malle devant chez toi n’est-ce pas ?

Mais Scorpius perdit très vite son sourire moqueur face aux derniers propos de James. Le jeune Malefoy mit beaucoup de temps à se rendre compte que le Gryffondor avait profité de son moment d’absence pour lui lancer un sortilège qu’il avait apris en cours il y avait environ deux heures. Un cours qui d’ailleurs avait semblé très long au Serpentard et où, seuls les coups de coudes répétés de ses voisins Timothy Goyle et William Nott à l’approche du professeur Bell, l’avait empêché de sombré dans le pays imaginaire du sommeil où il n’existait ni sang-de-bourbes, ni traitres-à-leur-sang, ni cours et où il pouvait consacrer tout son temps à la passion qu’il avait pour le quiddicth. Bref, si vous voyer un Serpentard aux cheveux d’un blond presque blanc dormir pendant le cours de sortilèges, c’est qu’il est partit dans ce fameux monde, où tout était rose et bleu…Où plutôt vert et argent.

Pour l’heure, Scorpius reporta son attention sur son propre présent assez catastrophique, arrachant son esprit de ses pensées de justesse pour s’apercevoir qu’il n’avait pas rêvé, qu’il se trouvait bien fasse à James Potter, son pire ennemi, et que celui-ci tentait bel et bien de mettre le feu à son uniforme scolaire aux couleurs verte et argent de la noble maison de Salazar Serpentard.
Essayant de toutes ses forces de ne pas penser à ce qu’il arriverait s’il ne parvenait pas à stopper le sort, il hurla à s’en casser les cordes vocales :

-Protego !
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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1Lun 7 Sep - 18:27

Mr Potter lance le sortilège "Confringo" .. Mr Malefoy tente de le bloquer.

Le dé affiche le nombre
3 ! Le sort ne passe pas.

Points de vie :
Mr Malefoy :
35
Mr Potter : 25

Suite du RP : Scorpius décrit comment il évite le sort et contre-attaque.

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MessageSujet: Re: Les ennemis de mes ennemis sont mes amis.   Les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Icon_minitime1

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